thèse Marianne Vogel

Marianne Vogel a soutenu sa thèse avec brio en se penchant sur l’histoire des paysages régionaux

Des mystères subsistent toujours concernant la genèse des paysages forestiers de l’ouest du Québec. Marianne Vogel, étudiante au doctorat sur mesure en paléoécologie a étudié la colonisation végétale des anciennes îles du lac proglaciaire Ojibway (aujourd’hui vidangé) au Québec qui a eu lieu il y a environ 10 000 ans.

Son objectif de recherche était de mieux comprendre le rôle des paléo-îles dans le processus de migration postglaciaire qui a eu lieu très rapidement, plus vite qu’en tenant compte de la capacité de dispersion moderne de graines des arbres et qui restait encore incompris. La thèse « Histoire des paléo-îles du lac proglaciaire Ojibway » a été soutenue avec succès le 30 octobre dernier sous la direction d’Hugo Asselin professeur à l’École d’études autochtones de l’UQAT, et d’Adam A. Ali, professeur à l’Institut des sciences de l’évolution de l’Université de Montpellier en France et la sous-direction de Sébastien Joannin, chargé de recherche à l’Institut des sciences de l’évolution de l’Université de Montpellier et d’Yves Bergeron, professeur à l’UQAM et l’UQAT.

Communiqué sur le site de l’UQAT : www.uqat.ca/nouvelles-et-evenements/nouvelle/?id=2984